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Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/135

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vouloir, vieillesse ou maladie ; je les chasse.

— Alors, nous ne trouverons pas chez vous l’homme qu’il nous faut. Avez-vous quelqu’un en vue ?

— Moi ? Personne. Mais tout est bon ; le premier venu, le commissionnaire du coin, le porteur d’eau que j’entends crier dans la rue !

Il tira ses lunettes de sa poche, écarta légèrement le rideau, lorgna dans la rue de Beaune, et dit au docteur :

— Voici un garçon qui n’a pas mauvaise mine. Ayez donc la bonté de lui faire un signe, car je n’ose pas montrer ma figure aux passants.

M. Bernier ouvrit la fenêtre au