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Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/166

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pie en le disputant au foyer de la danse. Une jolie dévote, madame de L…, lui avait prouvé, trois mois durant, que les plaisirs les plus vifs ne sont pas dans le scandale et la dissipation.

Toutefois, il n’avait jamais rompu avec le corps de ballet ; la sévère leçon qu’il avait reçue ne lui inspira aucune horreur pour cette hydre à cent jolies têtes. Une de ses premières visites fut pour le foyer où brillait mademoiselle Victorine Tompain. C’est là qu’on lui fit une belle rentrée ! Avec quelle curiosité amicale on courut à lui ! Comme on l’appela très cher et bien bon ! Quelles poignées de main cordiales ! Quels jolis petits