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Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/183

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— Ils sont jolis, tes camarades ! Comment ! je fais une cure merveilleuse qui répand ma gloire dans Paris, qui m’ouvrira un jour ou l’autre les portes de l’Institut, et tu vas, avec quelques ivrognes de ton espèce, gâter mon plus divin ouvrage ! S’il ne s’agissait que de toi, parbleu ! Nous te laisserions faire. C’est un suicide physique et moral ; mais un Auvergnat de plus ou de moins n’importe guère à la société. Il s’agit d’un homme du monde, d’un riche, de ton bienfaiteur, de mon malade ! Tu l’as compromis, défiguré, assassiné par ton inconduite. Regarde dans quel état lamentable tu as mis la figure de monsieur !