Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/232

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s’expose ; je ne connais pas de métier où l’homme ne risque sa peau ; un accident est si vite arrivé ! Donnez-lui de quoi vivre sans rien faire. Toutefois, gardez-vous bien de le mettre trop à l’aise ! Il boirait encore, et vous savez ce qui vous en revient. Une centaine de francs par mois, le loyer payé, voilà ce qu’il lui faut.

— C’est peut-être beaucoup… : non pour la somme ; mais je voudrais lui donner de quoi manger sans lui donner de quoi boire.

— Va donc pour quatre louis, payables en quatre fois, le mardi de chaque semaine.

On offrit à Romagné une pension