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Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/56

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Je suis M. L’Ambert ; permettez-moi de vous introduire.

Il sonna, poussa la porte, traversa la cour avec ses quatre visiteurs nocturnes et les conduisit jusque dans son cabinet de travail. Là, les deux Turcs déclinèrent leurs noms, le notaire leur présenta ses deux amis et laissa les parties en présence.

Un duel ne peut avoir lieu dans notre pays que par la volonté ou tout au moins le consentement de six personnes. Or, il y en avait cinq qui ne souhaitaient nullement celui-ci. Maître L’Ambert était brave ; mais il n’ignorait pas qu’un éclat de cette sorte, à propos d’une petite danseuse de l’Opéra, compromettrait grave-