Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/67

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les petits journaux de scandale aient eu vent de notre histoire !

Le marquis essaya encore une ou deux objections ; mais il finit par avouer que M. L’Ambert avait la main forcée. L’insistance d’Ayvaz-Bey était du dernier mauvais goût et méritait une leçon sévère. Personne ne doutait que le belliqueux notaire, si avantageusement connu dans les salles d’armes, ne fût le professeur choisi par la destinée pour enseigner la politesse française à cet Osmanli.

— Mon cher garçon, disait le vieux Villemaurin en frappant sur l’épaule de son client, notre position est excellente, puisque nous avons mis le bon droit de notre côté. Le reste