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Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/69

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Les témoins d’Ayvaz-Bey déclarèrent qu’ils y tenaient beaucoup. On fit chercher deux lattes ou demi-espadons à la caserne du quai d’Orsay, et l’on prit rendez-vous pour dix heures au petit village de Parthenay, vieille route de Sceaux. Il était huit heures et demie.

Tous les parisiens connaissent ce joli groupe de deux cents maisons, dont les habitants sont plus riches, plus propres et plus instruits que le commun de nos villageois. Ils cultivent la terre en jardiniers et non en laboureurs, et le ban de leur commune ressemble, tous les printemps, à un petit paradis terrestre. Un champ de fraisiers fleuris s’étend en