Page:About - Les mariages de Paris, 1856.djvu/256

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250 LE BUSTE. — Je vous jure que si ! Pourquoi avez vous joué votre vie à la courte-paille contre M. de Marsal ? — Parce qu’il m’avait insulté. — Pourquoi vouliez-vous vous faire tuer par cet affreux M. Lefébure ? — Parce qu'il me donnait sur les nerfs. — La jolie raison ! Soyez donc de bonne foi, et con¬ venez entre nous que vous êtes fou de Victorine ? — Madame, je veux mourir si..., ■— Ne mourez pas : elle vous aime ! » Daniel était sincèrement désolé. Les larmes lui montaient aux yeux. « Ma chère madame Michaud, dit-il, on m’a calomniéî Sur la tête de ma mère.... — Elle est ici, votre mère, et elle nous a avoué que vous aimiez Victorine. Est-il , bon Dieu! Puisqu’on vous la donne en mariage ! — La plaisanterie, madame, est un peu dure, et, quels que soient mes torts, je ne crois pas avoir mérité.... — Vous avez mérité la main de ma nièce, vous j dis-je, et vous l’aurez ! Le joli malheur! Est-ce que vous la trouvez laide ? — Non, madame, elle est\tadmirablement\tbelle.\tj — C’est bien heureux !\tj — La première idée, qui m’est venue en la voyant, c’est que je lui ferais volontiers son portrait pour ' rien.

  • 11 * !

4-\t_\t.\tP — Est-ce aimable pour moi\tce\tque vous\tdites là :\t) 1 ì fin 1.H