tôt de parti !… Tatischeff s’avance sur Romanoff à peine vêtu ; il lui donne deux coups de poignard !… Romanoff se traîne tout sanglant dans la chambre de Démétrius, et lui crie en tombant mort sûr le seuil de la porte :
— Trahison !… sauve-toi, Démétrius !… il y a trahison !
Et il meurt.
Démétrius a saisi ses armes, quelques gardes fidèles sont autour de lui ; ils résistent d’abord, mais la masse est trop forte. Tout ce qui entoure le czar est massacré, lui-même est frappé d’une balle. Il tombe… Le peuple se précipite sur lui pour l’achever !… mais se soulevant d’une main....
— Misérables, s’écrie-t-il, osez-vous bien frapper votre czar !… Je suis Démétrius fils d’Ivan !
Les meurtriers reculent… peut-être il eût été sauvé !… Mais, dans ce moment, Schouïsky,