Page:Abrantès - L’Exilé, Une rose au désert, tome 2.djvu/281

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

poitrine lorsque la main rude du bourreau de ses parens serra d’une courroie son cou rond et blanc comme celui d’un cygne… Le meurtrier rejeta ensuite le corps sur la neige, puis il rejoignit ses compagnons au grand galop de son cheval… Bientôt le bruit de leur course s’affaiblit, et le cadavre d’un enfant demeura comme seule trace du terrible drame qui venait de se jouer sur les bords du Jaïk.