Page:Abrantès - L’Exilé, Une rose au désert, tome 2.djvu/342

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

donne-moi… mais j’ai été faible !… j’ai craint qu’un jour tu ne m’aimasses moins !… que peut être tu ne m’aimasses plus !… C’est une douleur que je n’ai pas voulu connaître !… J’ai trop redouté l’instant où le malheur viendrait me frapper, et, en lâche soldat, j’ai déserté le péril. Adieu encore, ami ! adieu, je vais te précéder, et je t’attends là où notre bonheur sera éternel.

« Mathilde


FIN.