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Page:Académie française - Recueil des discours, 1860-1869, 1re partie, 1866.djvu/524

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SCÈNE IV.
LES MÊMES, VALENTINE.
(Maurice se retire de côté.)
VALENTINE, (à la cantonade).

C’est bien ! je vais écrire !

(Entrant en scène.)

Quelle tête ! ah ! bon Dieu ! quelle tête !

DUBREUIL.

Eh ! dis-moi,
À qui donc en as-tu ?

VALENTINE.

Mais à la mère Alfroy,
Qui, toute seule, ici, me donne plus à faire
Que tout un comité !

DUBREUIL.

Que tout un comité !Comment ? pour quelle affaire ?

VALENTINE.

Pour son fils Léopold ! un fort mauvais sujet !
Et madame est d’un faible avec ce bel objet !
J’ai beau lui répéter qu’il faut être sévère…
Pour les enfants !… surtout pour les fils !…

DUBREUIL., (riant).

Pour les enfants !… surtout pour les fils !…Ah ! j’espère !…