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Page:Achard - Envers et contre tous, Lévy frères, 1874.djvu/154

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— Ce soir, j’aurai pris le chemin de la Saxe, tandis que vous suivrez celui de la Bohême. Faut-il annoncer aux deux cousines que vous êtes ici ?

— C’est inutile. Dites-leur seulement que vous n’êtes plus chargé de les accompagner. Le reste me regarde.

— Ainsi, je peux compter sur vos bons offices auprès de celle qui peut être appelée la comtesse de Mummelsberg ?

— Si elle n’est pas à vous, elle ne sera jamais à personne. Cependant, il y a M. de Chaufontaine…

— Dieu me le fera rencontrer, et alors je réponds de tout.

— Au revoir donc, monsieur le comte.

— Au revoir, madame la baronne.

Un moment après, Mme d’Igomer était auprès de Jean de Werth, auquel elle faisait part du résultat de son entrevue avec M. de Pappenheim.

— Quand je vous le disais ! s’écria-t-elle, j’ai trouvé le défaut de la cuirasse.