Page:Achard - Rosalie de Constant, sa famille et ses amis, I, Eggimann.djvu/15

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Nous aurions pu commencer, selon l’usage, cette biographie trois ou quatre cents ans avant la naissance de notre héroïne, parler des chevaliers de St-Jean de Jérusalem, des chefs d’escadre, des compagnons de Charles Quint, qui furent ses ancêtres paternels. Rosalie elle-même, dans son journal, nous défile avec un certain orgueil une longue lignée d’aïeux, tous valeureux, preux et héroïques ; mais, si vous le voulez bien, nous ne remonterons pas si haut.

1