« Rosalie fait tout mon bonheur ; elle est gaie et caressante. Je la gâte beaucoup et ne lui fais rien apprendre, elle s’en porte mieux. »
« Nous avons demain dix-huit personnes à dîner et douze à souper. Rosalie sera comme un ange, en robe garnie de fourrure. Elle est toujours fort aimable. Ta mère prétend que tu les aimes tous à la folie quoique tu trouves beau de paraître indifférent. »
« Rosalie se débrouille à étonner, elle imagine et cause, elle est souple et gaie. Tout le monde te souhaite bien de l’ennui, à commencer par MMe Denis. Adieu, va te promener ! Est-ce que les mensonges officieux ne sont pas permis ? Oui, oui, très fort, eh bien, je te hais, je te hais, je te hais, i, i, i. Priez votre valet de chambre d’écrire à une de mes femmes pour que je sache si vous vous portez bien. Je vous félicite de la troupe que vous avez à Lau-