Page:Achard - Rosalie de Constant, sa famille et ses amis, II, Eggimann.djvu/13

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Chers lecteurs, agréez ici les excuses de l’ouvrier en faute, daignez ne pas trouver ma seconde partie trop volumineuse, (il fallait bien conduire notre héroïne jusqu’à la tombe !) et, puisque vous regrettez d’avoir quitté Rosalie si brusquement, rejoignons-la, sans plus tarder.

Encore un mot cependant. Que toutes les personnes qui m’ont aidée et encouragée dans mon travail reçoivent ici mes vifs remerciements. Quelques-unes sont déjà nommées dans le premier volume, d’autres seront citées au fur et à mesure des pages qui vont suivre.

Ici, je placerai un seul nom, celui de ma mère Mme  Achard née Rigaud de Constant qui bien souvent a éclairci tels ou tels points d’histoire obscurs pour moi, et qui constamment m’a guidée par ses conseils imprégnés d’un grand bon sens, héritage de ses ancêtres.

Pregny-la-Tour, Octobre 1902.