la Comtesse de Serrant[1] était fort spirituelle. Elle me prit dans une sorte de gré et nous causions souvent ensemble.
« Je les accompagnai un dimanche à Saint-Pierre. Elle trouvèrent notre culte fort beau ; le chant des Psaumes les édifia, mais il ne tint pas au prédicateur de les refroidir. M. le Pasteur de l’Escale était un des plus médiocres de ce tems-là. Son chapeau à trois cornes, ses gestes faisaient toute la gravité du service[2] ».
Pris comme complément, dans une lettre de Samuel à ses enfants, alors en séjour à Lalex :
« Il y a un bal au chauffoir de la comédie pour une Princesse Lubomirska et sa fille Potoka. On a envoyé des cartes pour ces demoiselles. Il y a aussi des ducs de Liancourt.
« Laure[3] a paru samedi, mais je ne sais pas si on s’est bien jeté dessus.