Page:Adam - La Force (1899).djvu/19

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tribua moins le droit de les retenir. Une minute se prolongea, une minute d’angoisse et de faim. Le V M aux wmëteres. Les entrailles grognaient. V ` iii. pelëlïtw lmtlencsa nous les aurons il ~ au irépétaist Ausclxer, clignant de son œil iq i i Lentement les Autrichiens ·s’appro- se savoir loin de leur bataillon; sredo11taiesnt—i`ls aussi Pinfanterie française aeqp. Ils firent halte ; leur officier passa et se posta, la canne à la main. Sous jument labou rait du sabot une flaque »

La conscience d’Héricourt lui enjoignit de ne pas risquer dix existences contre les forces qui pouvaient risl iiiv ; mais la bagarre autour du pain, comment l’expliquer ?

Il pensa fiévreusement. Les motifs luttairnt, disparaissaient en tumulte. Il crispa les mains W ii i É isisi du sabre et sur la bride... « Que r‘Wit istt Marius ?... » La solution ne parut point. Il Ãeisembler lâche à ses hommes. Mieux valait ” i D`ailleurs les Autrichiens mettaient en joue. dîl;lé;ri.co11nt se brouilla... Dix chiens s’abattirent, Q20uaî a..<d.étona ; les autres armes crachèrent. . . della pluie persistant depuis le matin, les car- lîmmideîs avaient ga té la poudre. La joie du <ceutain transporta le acoura ge de Bernard ; le demi·cercle formé par les fantassins; il ia‘ i*q“ l... avant l... » Les sabres sautèrent au bout tsrip ii s piles chevaux tentèrent le galop; mais le p Vaîesar t ..iVÃ llélan ne dura pe int. Il fallut aussi iVfs des üî uissons ; le maréchal des logis retint riiii‘ ftiVii qniiV€broncl1a,iet il dut s’arrêter a une toise des baïonnettes.

Il se trouvai faible essoufflé, en sueur, et l’âme palpi