Page:Adam - La glèbe, 1887.djvu/102

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où persistent les voix craquetées des perdrix.

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Sous l'aube rosissante et les longs cris du vent dans les trembles, – Cyrille s'est étendu face au ciel, les yeux clos. Il sent le matin; et voici le chant des alouettes. Tout son sang bourdonne et bouillonne dans sa tête inerte. Elle ne semble plus à lui tant elle pesé Il ne la peut mouvoir.

Et du rouge ensanglante ses paupières baissées, et du rouge flamboie sur ses joues qui brûlent. Il croit à la robe rouge de Denise qui le toucherait. Il lèverait bien ses