Page:Adam - La glèbe, 1887.djvu/58

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– Ça ne fait rien, je veux me marier.

– Mais avant de vous marier, Monsieur, songez au moins à vous corriger de votre ivrognerie. Vous ne pouvez pourtant apporter cela à une jeune fille en cadeau de noces.

– Vous êtes méchant, mon oncle. Vous savez bien que ça ne dépend pas de ma volonté, le médecin vous a dit l'influence originelle, atavique mon père était alcoolique.

– Il en mourut ? Prenez garde.

–Hé ! je sais, je sais. Aussi je ne veux plus rester seul. Non, je ne veux plus.