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Je veux changer le cours des heures angoissantes,
Apaiser mes regards vers des sérénités,
Et partir l’esprit pur comme un bois en été,
Et partir l’esprit pur et les mains innocentes !...
Mais toi, gueuse, va-t-en, va-t-en avec ton corps
Souillé par la luxure et par la boue des villes,
Promener l’étalage insolent et servile
De ces seins que mes doigts écraseraient encor !