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x EPILOGUE

P. II. du Passage, directeur des Etudes, un magistral ailicle Socialisme, qui vaut à lui seul un traité d’économie politique.

Envers l’Institut c ; tl.<’] : <, !. < de Paris, roe dettes km f(ii icn.luuhes. Sa Grai c’eu

Mgr Baudi illart, Lecteur, voulut bien contribuera l’article lnsti uction de la jeunesse, pa une vaste enquête sur les Universités calboliques des deux mondes. Mgr L. Pnmel, victleur, dans l’article les Pauvre » et l’Eglise, met à la portée de tous une magnifique collection de faitspeu connus, touebant l’histoire de la Charité chrétienne. M. l’abbe J. Guibeit, supérieur du Séminaire des Carmes, et le II. P. P. Teilhard de Chardin contribuèrent à l’article Homme, le premier insistant sur l’unité de l’espèce humaine, le second sur la place de l’homme devant les enseignements de l’Église et devant la philosophie spiritualiste. Le 11. P. J.-Y. Bainvel, notre ancien maître et doyen de la Faculté de théologie, reprit des sujets qui lui étaient familiers en composant un précieux article, Foi, Fidéisme, et pour l’article Marie un précieux fragment sur l’intercession universelle de la Sainte Vierge. Le 11. P. P. Ilousselot écrivit Intellectualisme, avant de tomber au champ d’honneur. M l’abbé E. Mangenot écrivit sur le Canon catholique des Ecritures ; M. l’abbé J. Touzard sur [Peuple) Juif dans l’Ancien Testament et sur Moïse et Josué. Ces deux articles, fort étendus, témoignaient d’une érudition immense ; le second ne manquait pas de hardiesse ; il fut, on le sait, l’objet d’une censure qui fit éclater l’esprit pleinement sacerdotal de l’auteur et l’empressement de son obéissance à l’Eglise. Nous avons pu conserver l’article en le supplémentant sous le titre : Pentateuque et Hexateuque. M. l’abbé A. Clerval écrivit sur l’Instruction de la jeunesse en France au moyen âge, et M. l’abbé X. Arquillière, avant d’être venu à nous, sur le Gallicanisme, de Charlemagne à l’avènement des Valois. M. l’abbé A. Villien, avec l’article Sanctification du Dimanche, représente la Faculté de droit canonique, dont il allait devenir doyen ; le R. P. Sertillanges, avec l’article Art, et le II. P. A. Blanche, avec l’article Pragmatisme, la Faculté de philosophie.

De la Faculté de droit nous vint l’article Famille, par M. H. Taudière. De la Faculté des lettres, l’article Franc-Maçonnerie, par M. G. Gautherot ; deux articles de M. l’abbé G. Bertrin sur la Criminalité du Clergé et sur le fait de Lourdes ; deux encore de M. IL Froidevaux, doyen, sur les religions des peuples anciens du Nord de l Europe et les religions des Américains Précolombiens ; l’article Sibylles, découpé, avecl’aulorisation du regretté abbé A. Boxler, dans un ouvrage que sa mort laisse inédit. De la Faculté des sciences, outre le fragment déjà cité du P. Teilhard de Chardin, un article de M-A. Briot sur la vertu hygiénique du Jeûne ; d’autres de M. le chorévêque F. Nau, témoignant d’une vie intellectuelle qui déborde singulièrement le cadre des sciences mathématiques : Apocryphes de la Bible, Démons, Zoroastre. Ce n’est pas quitter tout à fait l’Institut catholique de Paris que de donner un souvenir reconnaissant à Mgr A. Farges, à qui nous devons une synthèse très solide du Modernisme philosophique ; à Mgr L. Duchesne, qui nous autorisa libéralement à transcrire et à manipuler un sien chapitre sur la Gnose ; k M. Georges Goyau surtout, que nous n’avions pas emcore la gloire de posséder, mais qui déjà trouvait, dans une obligeance infatigable, le secret de se faire tout à tous. Qu’il s’agt d’une controveise retentissante soulevée jadis en Allen :  ; * ;, ! e autour de la maxime Fin justifie les moyens, et terminée par le plus piteux échec, ou du développement de la llèforme dans l’Allemagne moderne, ou de la question Scolaire danrelations avec la pensée catholique, il se montrait toujours prêt à faire trêve aux occupations de son choix. On apprécie une telle fortune, même après s’être fait de l’importunité une vertu professionnelle.

Mes frères de la Compagnie de Jésus furent les plus perse ei animent quêtes. Plusieurs, qui ont obtenu, parla mort au champ de bataille, la récompense éternelle, se survivent dans ces pages : le II. P. L. Rivet, sous le titre Duel Ae 11. P. II. Aufi’roy, sous le titre l sias tiijuc et sous le titre Sacerdoce chrétien : le Célibat ; le II. P. I r. Bouvier, sousle titre Magic et Magisme. J’ai déjà nommé le P. Ilousselot.

Parmi les autres, qui n’entendront point ici-bas mon merci, se présente d’aboid mon vieux maître, le IL P. X. Le Bachelet. Il a mis beaucoup de sa science. qui était grande, dans les articles Apologétique-Apologie, Mario (Immaculée Conception) iii, Pèché originel. Et puis, ses