Page:Adolphe Orain - Contes du Pays Gallo.djvu/152

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mante, était fou de bonheur, et ne se lassait pas de la contempler.

Comme on le pense bien, la chasse en resta là. On retourna promptement au Gué de Plélan, où le mariage des deux jeunes gens ne tarda pas à être célébré.

Le roi céda sa couronne à son neveu qui, pendant de longues années, fit le bonheur de son peuple.


(Conté par Julien Niobé du village du Canée, en Paimpont.)