Page:Adolphe Orain - Contes du Pays Gallo.djvu/236

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coins du pays en affichant un deuil sévère et un chagrin profond.

Après quelques années de veuvage, Louise, plus jolie que jamais, fit de fréquents voyages dans les villes environnantes. Elle se relâcha même dans la sévérité de sa toilette, et bientôt épousa un beau jeune homme qui s’empressa de la produire dans le monde, au lieu de la cacher au fond d’un manoir.


(Conté par Marie Perrin, repasseuse à Bazouges-la-Pérouse.)