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Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/131

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La Fille qui se noie en voyant son amant partir soldat

C’était une jeun’ fille,
Buvons et nous n’allons (bis),
Qui voulait s’y marier,
Buvons, puisqu’il faut boire,
Qui voulait s’y marier,
Buvons et s’en aller.

Son amant vint la voir,
Buvons et nous n’allons (bis),
Un soir après souper,
Buvons, puisqu’il faut boire,
Un soir après souper,
Buvons et s’en aller.

Il la trouva seulette,
Buvons et nous n’allons (bis),
Sur son lit qui pleurait,
Buvons, puisqu’il faut boire,
Sur son lit qui pleurait,
Buvons et s’en aller.

Il lui demanda : — Belle,
Buvons et nous n’allons (bis),