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Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/213

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Elle aura des enfants qui me diront : « Papa,
Donne-nous donc du pain que l’on n’meur’ pas de faim. »

Parlons du jeu, parlons du mariage,
Parlons d’amour, mais point d’s’y marier.

(Guichen.)
Le Marié mécontent

Comm’ j’étais chez mon père,
Demeurez là, mettez le pied là,
Garçon à marier,
Bell’, mettez là le pied !

Je n’avais rien à faire,
Demeurez là, mettez le pied là,
Qu’une femme à chercher,
Bell’, mettez là le pied !

Et maint’nant que j’en ai une,
Demeurez là, mettez le pied là,
Ell’ m’y fait enrager,
Bell’, mettez là le pied !