Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/212

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Elle aura des amants qui s’en viendront la voir,
Du matin jusqu’au soir, du matin jusqu’au soir.

Parlons du jeu, etc.

Si par malheur je prends, une femm’ qui soit laide,
Toujours devant les yeux j’aurai cette laideur.

Parlons du jeu, etc.

Si par malheur je prends une femm’ qui soit riche,
Bien du danger pour moi si j’y vas-t-à l’auberge.

Parlons du jeu, etc.

Ell’ m’appell’ra : « Ivrogn’, tu manges tout mon bien,
Mes enfants n’auront rien, mes enfants n’auront rien. »

Parlons du jeu, etc.

Si par malheur je prends une femm’ qui soit pauvre,
Il me faudra alors tout’ ma vie travailler.

Parlons du jeu, etc.