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Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/252

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V’là les bouquets qu’on apporte,
Chacun va, se fleurissant.
Battu, etc.

Par un matin, je m’y lève,
Par un beau soleil levant.
Battu, etc.

En entrant dans mon jardin,
Par une porte d’argent.
Battu, etc.

J’aperçois un romarin,
Qui fleurissait, rouge et blanc.
Battu, etc.

J’en ai coupé une branche,
Avec mes ciseaux d’argent,
Battu, etc.

Je l’envoie à ma maîtresse,
Par l’alouette des champs.
Battu, etc.

Ell’ m’y renvoie une lettre,
Par le rossignol chantant.
Battu, etc.