Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/261

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Ils ont ainsi la certitude que le petit garçon a complètement fait sa besogne.

Ne comprenant pas bien son charabia, ils traduisent ainsi ses paroles :

C’est Madam’ la cuisinière,
Qu’a peté dans sa chaudière,
Et qui a cassé ses plats.
Lon lon la,
Ramonez-la,
La cheminée du haut en bas !

J’ai de bonnes aiguilles,
C’est pour les belles filles,
Les laides n’en auront pas.
Lon lon la,
Ramonez-la,
La cheminée du haut en bas !

En passant par la cuisine,
Quelquefois j’embrasse Perrine,
Quelquefois je ne l’embrasse pas.
Lon lon la,
Ramonez-la,
La cheminée du haut en bas !