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LA
MADONE DE MAILLERAS
« Non, Lizzie, non, je n’irai pas à l’école aujourd’hui ; la demoiselle a dit qu’elle viendrait ; je veux la voir. »
Et Jean se débattait en cherchant à retirer sa petite main de celle de sa sœur.
« Je te dis que si, Jean ; il faut que tu y ailles ; j’ai de l’ouvrage, et je ne puis te garder toute la journée.
— Oh ! je serai si sage, petite sœur ! »
Et Jean, s’élevant sur le bout des pieds, tendait sa figure rose et joufflue au baiser de Lizzie.