Page:Agnès de Navarre-Champagne - Poésies, 1856.djvu/100

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Pour ce que c’estimes reçoùrsl v
Et mes humains paradisJj’j' : h — n
Et s’il vuet aiïfere, déport " o ?  ;  ! f ^n{
Je di.que foy en îidort, 5 ty
Et qu’il esWâmourë partisU — —’- ;  :
Car qui plus quiert, il ha tort,
Et c’est d’onneur anemis.

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Qu’amours ha nature

Si noble’et si pure, J

Qu’il n’est créature

Qu’elle ne forjurë, ’..’u’;’

Ne dont elle ait cure

S’il pense à laidure.

IVÏais ce m’asseure
Que raison, mesure,
Loyauté, droiture
Sont en la figure
Qui me tait pointure L :  : }1 > :
Souvent douce et sure.

Dont jà ne eroiray
Que mon amy gay
N’ait fin cuer et vray ; y
Pour ce ; accomphray,
Tant corn je porrai,
Son veil bonnement.
Que si bon le sçay
Que n7 en par tir ay^
Ne repentiray.