— 51 —
Pour ce que c’estimes reçoùrsl v
Et mes humains paradisJj’j' : h — n
Et s’il vuet aiïfere, déport " o ? ; ! f ^n{
Je di.que foy en îidort, 5 ty
Et qu’il esWâmourë partisU — —’- ; :
Car qui plus quiert, il ha tort,
Et c’est d’onneur anemis.
_-- :. ) « !. < i ; ~> » ;’f « I ; ; ’- : K’ ; » | : —--’ï| :’. ; ;’i ; • ; -,
. | : -ITV—’ ." « ; »,’ « ' ! !. » ’. »: ; v •’ ! - ! .•; ii-y- « . 1 • : f » :. « »
Qu’amours ha nature
Si noble’et si pure, J
Qu’il n’est créature
Qu’elle ne forjurë, ’..’u’;’
Ne dont elle ait cure
S’il pense à laidure.
IVÏais ce m’asseure
Que raison, mesure,
Loyauté, droiture
Sont en la figure
Qui me tait pointure L : : }1 > :
Souvent douce et sure.
Dont jà ne eroiray
Que mon amy gay
N’ait fin cuer et vray ; y
Pour ce ; accomphray,
Tant corn je porrai,
Son veil bonnement.
Que si bon le sçay
Que n7 en par tir ay^
Ne repentiray.
Page:Agnès de Navarre-Champagne - Poésies, 1856.djvu/100
Apparence
Cette page n’a pas encore été corrigée