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Car il n’a pas de moïen 5 u J>K
Ains ont tout une Yolenté^ ! ; ; ; — ; ->., > ;
Une plaisance j >mm santé ;,. ; —^ > \ ] y
Une vie et un parfait bien-._ ; : ; j ; y, }
Qui n’a deffaut.de nulle rien., ; ; _f » j, j
C’est la fontainne de plenté,
C’est la fleur de toute bonté •
C’est le souverain bien terrien.
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Nuiz d’eulz ne scet dire V c’est mien,
Pour ce que c’est une unité,
Conjointe par vraie amitè, ,
Sans barat et sans mal engien.
C’est le droit neu, c’est le lien
De foy, de pais, de loyauté,
De joie, d’onneûr, d’onnésté^
Maint vray amant le scevent bien.
Si ne tient pas à amours j
N’a moy, que mes dôus amis
N’ait souffisance et secours
Et qu’il ne soit assevis ;
Car de tout le bon confort
Que parler puis, le confort
Et conforterai toudis,
Sauve m’onnéur, par le sort
D’amours qui à ce m’a mis.
De mes loyaus cuers aillours,
Ne porroit estre pensis, ,
Page:Agnès de Navarre-Champagne - Poésies, 1856.djvu/99
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