Page:Aicard - Jeanne d’Arc, 1866.djvu/10

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Mais Quelqu’un a veillé, qui laisse,
Lorsque le temps écrase tout,
Telle qu’une ombre vengeresse,
La Prison de Jeanne debout.
Voilà le monument, ô France !
Voilà le piédestal immense !
Et quand tu l’auras acheté,
Consolidant cette ruine,
Rouen, tombeau de l’héroïne,
Sera son immortalité !