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L’ILLUSTRE MAURIN

Maurin vous eût épousée volontiers à cette heure, car vous êtes brave et jolie. Mais Maurin n’a pas de chance. Oubliez-moi, Tonia, et pardonnez-moi la peine que je vous cause.

Et il s’en alla.

Son bâton en main, Hercule sur ses talons, il suivait le grand chemin…