tomba, se releva et se mit à fuir, suivi du taureau qui, enfin, parvint à le frapper à la cuisse…. L’homme tomba pour la seconde fois, et le taureau qui avait paru l’abandonner, retournait contre lui, quand un nouveau venu dans l’arène attira l’attention du fauve et sauva le blessé. Le taureau fondit sur son nouvel adversaire. C’était Pastorel. Gentiment, Pastorel avait dit à Zanette : « La première cocarde, je la prendrai pour toi… pour remplacer l’autre… »
Mais il avait compté sans Martégas qui se ménageait, attendant ce moment prévu pour entrer en lice. Martégas sauta dans l’arène et, aussitôt, regarda du côté de Rosseline. Dans ce grouillement de foule il ne parvint pas à la voir, bien qu’il l’eût placée lui-même…. Il ne la vit pas, mais il se savait regardé.
Pour lui, le prix de la lutte, c’était Rosseline.
Les deux hommes étaient en bras de