jours en activité tombèrent sur l’étrier du vieillard : il tressaillit et passa de l’autre côté du cheval pour examiner l’autre étrier.
— Oh ! oh ! voilà qui est étrange marmottat-il entre ses dents.
Et il revint à sa voiture pour prendre dans le caisson le bout de courroie qu’il avait subtilement ramassé près du cadavre d’Édouard Overton : mais en se rapprochant de Sedley il cacha cet objet sous un pan de sa veste.
Sedley était, du reste, trop occupé à l’arrangement de sa bride pour faire attention à lui.
— Dites donc, voisin Sedley, lui demanda-t-il ; je parierais que vos étriers n’ont pas des courroies appareillées. Celle de ce côté-ci n’a certainement pas sa sœur.
— En effet, j’ai perdu l’autre dans les bois, il y a longtemps, fit Sedley mécontent de cette question.
— C’est malheureux, car on ne trouve pas en