Page:Aimard - Balle france, 1867.djvu/48

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blaient à une parole tombée de ses lèvres ou à un simple froncement de ses sourcils.


Il se trouva tout à coup en face d’un cadavre.

Les blancs, et surtout les Espagnols, et les Américains du nord, étaient les ennemis implacables de Natah-Otann ; il leur faisait une guerre sans pitié ni merci, les attaquant partout où il pouvait les