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Le Forestier

Lorsqu’ils eurent atteint la base de la colline, Fernan s’arrêta, se retourna vers le sombre bâtiment, et étendant le bras vers lui d’un air de menace :

— Je pars, dit-il d’une voix étranglée par une colère impuissante, mais, vive Dieu ! je reviendrai et je découvrirai tes terribles mystères de cette sinistre habitation, dussé-je payer de ma vie cette découverte. En route, compagnons, et hâtons-nous afin de regagner le temps perdu.

Ils repartirent, mais cette fois au galop.