Page:Aimard - Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858.djvu/440

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Au lieu que les trappeurs, malgré la rude vie qu’ils mènent et l’habitude qu’ils ont de voir verser le sang ou de le verser eux-mêmes, se dispersèrent, la poitrine oppressée et le cœur serré par cette affreuse boucherie.

Le Cœur-Loyal et le général se dirigèrent vers la grotte.

Les dames renfermées dans l’intérieur du souterrain ignoraient la terrible scène qui venait de se jouer et la sanglante expiation qui l’avait terminée.