Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/257

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L’intrépide lieutenant annihilait les efforts et les attaques de ses nombreux et lâches ennemis.

Les deux faux négociants espagnols, Marcos Praya et sa maîtresse, doña Hermosa de Casa-Real, toujours vêtue de ses habits masculins, se tenaient assis dans la chambre d’arrière de la chaloupe.

Le second timonier du bord dirigeait la marche.

On nageait doucement.

Les matelots ramaient, non pas en hommes qui cherchent à gagner une rade ou un port quelconque, mais en gens qui attendent.