Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/305

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Pâques-Fleuries assise devant une petite table travaillait à un bouquet de fleurs.

On eut beau faire, rien ne put l’empêcher d’être l’échanson de ces toniques jaunes, verts, noirs et blancs.

Crème de moka, noyau, fine champagne, chartreuse jaune et chartreuse verte, tout fut lestement dégusté par les lèvres deux fois purpurines de la brune Rosette.

Pâques-Fleuries trempa à peine les siennes dans une demi-tasse de café.