Page:Aimard - Les rois de l'océan, 1 (L'Olonnais).djvu/70

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Il hocha tristement la tête, étouffa un soupir, essuya les larmes qui baignaient son visage et regagna, en chancelant, son cabinet, où l’attendaient, pâles, anxieuses, désolées la mère et la sœur de celui qui, venait de s’appliquer si impitoyablement la loi du talion.

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Bien des années s’écoulèrent ; jamais le comte Ludovic de Manfredi-Labaume ne reparut ; son nom lui-même, ne tarda pas à être oublié, au milieu des événements politiques qui agitèrent la France, pendant la minorité du roi Louis XIV.

FIN DU PROLOGUE