Page:Aimard - Ourson-tête-de-fer.djvu/255

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« Le capitaine a reçu la lettre, il viendra ; veillez ; de mon côté, je veillerai aussi. »

— Ainsi il est en route ?

— Oui ! Es-tu contente, chérie ?

— Ô mon Dieu ! auriez-vous donc pitié de moi ? s’écria doña Elmina en sanglotant.

Les deux jeunes filles demeurèrent longtemps embrassées, confondant leurs larmes et leurs sourires.