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— Bien, frère ; je sais ce que je voulais savoir ; maintenant, suis-moi.
— Où allons-nous ?
— Sois fort. Je te conduis près de la personne qui t’a écrit ; c’est moi qui, par son ordre, t’ai fait passer le billet.
— Oh ! si cela est vrai, Frère ?… s’écria le capitaine.
— Doutes-tu de ma parole ?
— Non, non. Pardonne-moi, Frère, je suis fou ; marchons.
Ils s’engagèrent alors à grands pas dans le sentier qui conduisait au village.
Il était deux heures du matin.