Page:Aimard - Par mer et par terre : le batard.djvu/99

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occupaient, s’était emparée de la ville et avait enlevé les forts d’assaut.

Toute la garnison espagnole, forcée de mettre bas les armes, était prisonnière de guerre.

Cette fois, tout était bien fini pour les Espagnols.

Ils ne possédaient plus un pouce de territoire sur tout le continent américain.

Ils quittèrent, la tête basse et la honte au front, cette terre sur laquelle ils avaient, pendant si longtemps, fait peser un joug impitoyable !