Page:Alanic - Aime et tu renaitras.djvu/206

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blement du désir d’épancher son cœur naïf. La grande sœur se résigna.

Et dans l’ombre épaissie, longuement, elle dut écouter l’éloge de la femme idéale et captivante, blonde, musicienne, exquisement charitable, aimant si passionnément la France, quoique née en Amérique !

— Ah ! elle n’est pas de notre race ! observa Hélène avec regret. Tant pis ! Enfin, les Américains sont nos alliés, à présent !