Page:Alessandro Manzoni - Les fiancés, trad. Montgrand, 1877.djvu/505

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trop de brièveté ne saurait y être permise, et ce n’est point ici qu’elle pourrait être traitée avec l’étendue qui lui convient. D’ailleurs, après s’être arrêté sur ces événements, le lecteur ne se soucierait certainement plus de connaître ceux de notre narration particulière qui nous restent à mettre sous ses yeux. Réservant donc pour un autre écrit le récit et l’examen de ceux que nous venons d’indiquer, nous reviendrons enfin à nos personnages, pour ne les plus quitter jusqu’au terme de leurs aventures.