cette pensée que les maux viennent souvent, il est vrai, parce qu’on leur fournit une cause, mais que la conduite la plus circonspecte et la plus innocente ne suffit pas toujours pour les écarter ; et que, lorsqu’ils viennent, qu’il y ait ou non de notre faute, la confiance en Dieu les adoucit et les rend profitables pour une meilleure vie. Cette conclusion, bien que trouvée par de pauvres gens, nous a paru si juste que nous avons jugé à propos de la placer ici comme la vérité où elle conduit en dernière analyse.
Si cette histoire ne vous a pas tout à fait déplu, sachez-en gré à celui qui l’a écrite, et un peu aussi à celui qui l’a raccommodée. Mais, si par malheur nous n’avions fait que vous ennuyer, veuillez croire que ce n’a pas été à dessein.