Page:Alexandri - Les Doïnas, 1855.djvu/119

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Je vous donne ici la description telle qu’elle a été extraite par M. Cogalnitchan, du livre du prince Cantemir, et j’ai le regret de n’avoir pu imiter, dans ma traduction, la naïveté du récit original.

Puisse ce faible hommage du proscrit à l’éminent historien, vous inspirer, Monsieur, le désir de nous douer, ainsi que vous l’avez fait pour la Pologne dans votre légende de Kosciusko : Je vous doue au berceau, etc. ; puisse-t-il en même temps vous persuader d’une chose, c’est que notre reconnaissance et notre amour dureront autant que vos immortels écrits.

Agréez, Monsieur, etc.