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Page:Alexis - Émile Zola. Notes d’un ami, Charpentier, 1882.djvu/296

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Que, jointe à l’âme sœur, l’éternité l’appelle,
Et qu’il faut qu’un coup d’aile
Nous emporte à tes pieds pour nous donner l’amour !

Ah ! pour l’éternité qu’errantes dans les nues,
Nos âmes, se mêlant dans un baiser de feu,
Sans les honteux désirs de nos chairs éperdues,
Dans la bière étendues,
Aiment de ton amour, ô mère de mon Dieu !


1860.


FIN DE L’AMOUREUSE COMÉDIE.